Naissance le 10 juin 1946 à Paris. Écrivain, poète, dramaturge et traducteur, il est traduit en italien, espagnol, catalan, allemand, chinois.
Il fut enseignant (lettres, philosophie) de 1969 à 1983, lecteur et traducteur dans l’édition (Flammarion, éd. Jean-Michel Place 1980-1982), directeur du Centre Culturel Municipal puis du théâtre la Colonne à Miramas (1985-1989).
Il a multiplié les collaborations artistiques :
avec le théâtre – Théâtre-Narration (Gislaine Drahy), Théâtre de la Jacquerie (Alain Mollot), Théâtre de la Chrysalide (F. Coupat, D. Pouthier), Cie le Temps de dire (P. Fructus), Cie Juin 88 (M. Heydorff), Cie Adesso e sempre (J. Bouffier), Cie Anabase (M. Baylet), Cie L’Atalante (C. Hugel), Cie Amédée (Flavio Polizzi), Cie Labyrinthes (J-M. Bourg)
avec la Danse – Cie Raphaël Djaïm, Cie M. Ettori, Cie Artefact (M. Vincent)
les Marionnettes – Cie Eidolon (Pupella /Nogues), Cie À ciel ouvert (Catherine Humbert)
les Arts plastiques – Anik Vinay & Emile-Bernard Souchière (Ateliers des Grames), J. Brianti, D. Friedrich, Riba, D. Givry, C. Hugel, J. Clauzel, A-P. Arnal
la Musique – Frank Royon Le Mée, Barry Schrader, Albert Tovi, Serge Monségu, Eric Guennou, Maguelonne Vidal
Il fut boursier du Centre National des Lettres en 1981 et 2000, Bourse d’encouragement, Direction du Théâtre, 1997, Aide à l’écriture, D.M.D.T.S. 2000
Lire l'entretien qu'il a accordé à Alain Freixe, en décembre 2014 à l'occasion de la publication de Dans la suite des jours.
Claude Chambard –
Ce livre est considérable. C’est un évènement. Un de ces livres, suspendus, que l’on n’osait plus attendre. En donner un extrait est réducteur, certes, j’en donnerai donc, sans aucun doute, d’autres. Peut-être, moi qui ne me crois plus capable de rendre compte de mes lectures, tenterais-je l’exercice périlleux. En attendant, lisez ce livre vraiment vraiment vraiment important.
Annie Estèves –
Michaël Glück au sommet de son art.
“Ciel déchiré, après la pluie”, aux éditions l’Amourier. Une expérience de lecture dont on revient totalement bouleversé.Une situation limite du récit et de l’écriture. Il faut lire tout ce qui dit Michaël, s’entretenant avec Alain Freixe, à propos de la “composition” de l’œuvre au sens musical, et du travail de la langue, et lire aussi le très beau papier de Michel Séonnet, dans “Le Basilic”, sur ce très grand livre. Un de ceux qui comptent dans votre vie de lecteur. Puissant. Merci Michaël.